Plusieurs vitres brisées, des boîtes aux lettres dégradées et une petite affiche donnant le prix au gramme de quatre produits stupéfiants : « shit », « beuh », « coke », « héro ». Mais dans le hall d’entrée du n°48 de la résidence des Presles, ce vendredi matin, pas de trafiquant en vue. « Les policiers passent tous les matins, ils étaient là encore tout à l’heure et ils sont partis », indique un agent de nettoyage, s’affairant sur le petit parking de cette barre d’Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis).
«C’est la routine…» : à Epinay, sur le point de deal où les photos de policiers ont été placardées
