Il faut positiver en cette matinée ensoleillée. Henri scrute la soixantaine de mômes gambadant sur les pelouses de l’Urban Soccer d’Asnières et Gennevilliers (Hauts-de-Seine). Certes, le Covid-19 les empêche de terminer la séance par une opposition bien méritée. « Ils ont envie de liberté, c’est normal. Mais finalement, ça nous permet de travailler avec eux des choses différentes, souligne l’éducateur sous son masque bleu foncé. On insiste sur le jeu de passes, sur les déplacements sans ballon, sur la qualité de frappes… ».
Pas de matchs, pas de contacts : la drôle de survie des salles de foot à cinq
