Salle de shoot à Paris : l’étude qui montre leur efficacité… et relance la polémique

Le document fait 350 pages et ravive déjà la polémique. Une étude publiée vendredi par l’Inserm dresse un bilan positif des deux salles de consommation à moindre risque, ouvertes en 2016 à Strasbourg et Paris. « Elles diminuent les pratiques d’injection à risque, le nombre d’injections dans l’espace public, le risque d’overdoses, le risque d’aller aux urgences et la probabilité de commettre des délits », résume à l’AFP Marie Jauffret-Roustide, sociologue de l’Inserm qui a coordonné une partie de cette étude.

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