En ce jour d’automne 1971, il est 7h30 quand Geneviève quitte son appartement de Creil. Comme tous les matins, elle enfourche sa bicyclette Peugeot pour se rendre à l’usine Renucci de Nogent-sur-Oise, où elle conçoit des capitons de cercueil. Après quelques coups de pédales, la jeune femme brune, à peine 20 ans, commence à paniquer.
40 ans du procès Barbeault : comment le Tueur de l’ombre «avait réussi à instaurer un climat de terreur»
