« Quand ma plainte à la suite d’une agression homophobe a été classée sans suite, j’avoue m’être demandé si cela aurait été pareil à Paris sous Anne Hidalgo (NDLR : la maire PS) », confie Gabriel (les prénoms ont été changés*), homosexuel résidant depuis plusieurs années à Bagnolet (Seine-Saint-Denis). « Si j’avais connu cette application de signalement de l’association Flag dont parle le conseil départemental, poursuit-il, j’y aurais eu recours pour la reconnaissance du caractère homophobe. »
«On m’a déjà dit : va te suicider» : insultes, bêtise ordinaire… trois gays racontent leur quotidien en Seine-Saint-Denis
