« À un moment, j’ai voulu tout envoyer balader. La médecine… La vie aussi, j’y ai songé », confie Xavier*, 31 ans. Pendant ses années d’internat dans les hôpitaux d’Ile-de-France, des idées noires sont venues le tourmenter. Lui a pu trouver une oreille attentive auprès de sa cheffe de service. « J’ai eu de la chance », estime-t-il près de quatre ans plus tard. « Mais j’étais loin d’être un cas isolé. »
Temps de travail des internes en médecine : «Notre demande est simple, que la loi soit respectée»
